Dans le département de l’Artibonite, les opérations de vote du 20 novembre se sont déroulées dans un climat serein. Aucun acte de vandalisme et d’intimidation n’a été enregistré. Les autorités policières et représentants du Conseil électoral provisoire (Cep) se sont réjouis de cette journée qu’ils qualifient de réussite.
Au lendemain de ces élections non (encore) contestées, la ville des Gonaïves, chef-lieu du département, s’est réveillée dans le calme. Les écoles n’ont pas fonctionné. Beaucoup d’entre elles ont été utilisées comme centres de vote. Mais, toutes les activités commerciales ont repris leur cours. Dans tous les coins, les gens commentent la journée électorale. A chacun son pronostic ! Au delà des différences de chiffres, ces électeurs souhaitent que leur vote ne soit pas piétiné. Ils invitent les membres du Cep à assumer leurs responsabilités.
Bilan partiel de la journée de vote
Dans la circonscription des Gonaïves comme dans le reste du département, la majorité des 227 centres de vote ont ouvert leurs portes entre 6h 15 et 6h 45 a.m. Dans toute la région, 806 722 électeurs devraient se rendre aux urnes pour élire un président et un sénateur et quelques députés. Devant les bureaux, aucune affluence de personnes n’a été remarquée. Même après les cultes. L’ambiance était pâle.
A la fin des opérations, le vice-president du Cep, Me Carlos Hercule, n’a pas caché sa satisfaction. Selon lui, le taux de participation s’élève à plus de 50%. Il a salué le courage et le dévouement de tous les acteurs impliqués dans le processus. « Cette partie, nous l’avons gagné », s’est exalté M. Hercule.
Les dispositifs de securité ont été renforcés dans les parages des centres. Même dans les communes considérées comme zones rouges, le calme régnait. Néanmoins, les forces de l’ordre ont interpellé sept personnes qui circulaient à bord de trois véhicules sans immatriculation. Deux autres individus ont été appréhendés dans le bas-Artibonite avec des lots de cartes d’indentification nationale en leur possession.
D’après le conseiller Hercule, l’attitude de la population est un bon augure pour l’avenir du pays. Il demande aux citoyens de ne pas se laisser manipuler et de faire de preuve de patience. Avec ses autres collègues, Carlos Hercule dit s’engager à travailler pour que les résultats soient l’expression du vote populaire.
JC
Au lendemain de ces élections non (encore) contestées, la ville des Gonaïves, chef-lieu du département, s’est réveillée dans le calme. Les écoles n’ont pas fonctionné. Beaucoup d’entre elles ont été utilisées comme centres de vote. Mais, toutes les activités commerciales ont repris leur cours. Dans tous les coins, les gens commentent la journée électorale. A chacun son pronostic ! Au delà des différences de chiffres, ces électeurs souhaitent que leur vote ne soit pas piétiné. Ils invitent les membres du Cep à assumer leurs responsabilités.
Bilan partiel de la journée de vote
Dans la circonscription des Gonaïves comme dans le reste du département, la majorité des 227 centres de vote ont ouvert leurs portes entre 6h 15 et 6h 45 a.m. Dans toute la région, 806 722 électeurs devraient se rendre aux urnes pour élire un président et un sénateur et quelques députés. Devant les bureaux, aucune affluence de personnes n’a été remarquée. Même après les cultes. L’ambiance était pâle.
A la fin des opérations, le vice-president du Cep, Me Carlos Hercule, n’a pas caché sa satisfaction. Selon lui, le taux de participation s’élève à plus de 50%. Il a salué le courage et le dévouement de tous les acteurs impliqués dans le processus. « Cette partie, nous l’avons gagné », s’est exalté M. Hercule.
Les dispositifs de securité ont été renforcés dans les parages des centres. Même dans les communes considérées comme zones rouges, le calme régnait. Néanmoins, les forces de l’ordre ont interpellé sept personnes qui circulaient à bord de trois véhicules sans immatriculation. Deux autres individus ont été appréhendés dans le bas-Artibonite avec des lots de cartes d’indentification nationale en leur possession.
D’après le conseiller Hercule, l’attitude de la population est un bon augure pour l’avenir du pays. Il demande aux citoyens de ne pas se laisser manipuler et de faire de preuve de patience. Avec ses autres collègues, Carlos Hercule dit s’engager à travailler pour que les résultats soient l’expression du vote populaire.
JC
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